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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 20:41

Publié le 30 septembre 2009
Amnesty International

Amnesty International (AI) dénonce des "proportions alarmantes" de viols et d'actes de violences contre les femmes réfugiées dans l'est du Tchad, voisin de la région soudanaise du Darfour en proie à un conflit civil depuis 2003. "Il ressort clairement (...) des informations recueillies par Amnesty International et plusieurs autres ONG que, chaque jour, des femmes et des filles qui vivent dans des camps de réfugiés dans l'est du Tchad sont violées et confrontées à de nombreuses autres formes de violences aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur des camps", déclare l'ONG dans un rapport publié mercredi, s'inquiétant d'"un phénomène qui atteint des proportions alarmantes".

"Il est impossible de savoir avec exactitude" le nombre des victimes, précise ce document intitulé "+Il n'y a pas de place pour nous ici+: Violences contre les réfugiées dans l'est du Tchad", publié après une "mission de recherche" d'AI au Tchad du 25 avril au 13 mai.

L'est du Tchad accueille "environ 260.000 réfugiés originaires du Darfour, en grande majorité des femmes et enfants présents dans la région depuis plus de cinq ans", vivant dans une douzaine de camps "le long de la frontière entre le Tchad et le Soudan", rappelle l'ONG.

La région abrite aussi environ 150.000 réfugiés centrafricains et déplacés tchadiens.

Selon AI, les agressions dénoncées se produisent pour la plupart des cas hors des camps, lorsque les réfugiées sont en quête de vivres, eau, bois ou fourrage pour les animaux. Les violences sont commises par des "bandits locaux, y compris des villages des environs, voire des membres de l'armée nationale tchadienne", difficilement identifiables par leurs victimes. Des agissements similaires ont lieu "à l'intérieur même" des camps, ajoute-t-elle. "Souvent commises de nuit, les agressions sont rarement signalées", rendant les poursuites "très difficiles" contre leurs responsables. Des témoignages mettent en cause "des membres du personnel humanitaire".

Ces violences se produisent en dépit de la présence de la force de l'ONU déployée au Tchad (Minurcat) et de forces tchadiennes de sécurités formées par l'ONU pour la protection des civils touchés par la guerre au Darfour (Détachement intégré de sécurité, DIS).

Leurs auteurs "sont très rarement traduits en justice, même lorsque les victimes signalent les faits aux autorités locales, au DIS ou aux responsables des camps de réfugiés", dit AI, dénonçant une "culture de l'impunité".

L'ONG exhorte les autorités tchadiennes et les organisations assistant les réfugiés à faire en sorte que les femmes et filles soient protégées contre les viols et violences sexuelles, "des crimes inacceptables". Elle réclame "des réparations complètes et effectives" en faveur des victimes.

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 20:04

8 octobre 2009
Djikolmbaye Tayeur
Blog de Makaila

L'Elysée accepte en âme et conscience que le Tchad soit en guerre

Tout en reconnaissant qu'il s'agisse d'un soutien au patron du palais Rose, Paris a dû confirmer la vente de missiles et autres armements après la percée rebelle sur la capitale N'Djamèna.

L'Elysée a accepté, en âme et conscience que le Tchad soit éternellement en guerre. La France n'a jamais l'intention de voir le peuple tchadien vivre en paix ! 13 millions d'Euros dans l'achat d'arme pour un pays qui occupe 176 rang des pays pauvres, et l'on devrait orienter les actions de manière concrète !!!! -

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 19:51

Lu pour vous le 9 octobre 2009
Publié le 6 avril 2008
Joe Kongarena, librafrique.com
 


A l'inébranlable docteur Outel Bono!

Outel Bono est un brillant médecin tchadien qui a très tôt dénoncé les mécanismes de transition vers une indépendance aliénante du Tchad, instaurés par l’administration coloniale française. Fondateur du Parti progressiste tchadien (PPT-RDA) avant de le quitter pour la France, M. Outel Bono rentre au Tchad en 1962 avec un doctorat en médecine. Très vite, Bono fait des propositions d’instaurer des principes démocratiques au parti unique PPT-RDA mais les escarmouches avec les dirigeants de l’époque lui contraignent d’abandonner le projet. Bono s’occupe à soigner les malades uniquement.


La manifestation de la force sans le droit


En mars 1963, un français travaillant comme commissaire de police au Tchad vient, avec quelques éléments armés, enlever le médecin Bono à son domicile au motif de complot contre la sécurité extérieure et la personne du chef de l’état. Bono est condamné à mort la même année. Une  manifestation de la force sans le droit. De nombreuses interventions étrangères contraignent  les persécuteurs du médecin Outel Bono à le libérer. Il  reprend son service auprès des malades. En avril 1969, Bono est invité à s’exprimer à une conférence sur la culture du coton. L’homme intègre dénonce l’exploitation des cultivateurs de coton. Soit dit en passant, la société Coton-Tchad est une interface d’une société française, la CFDT (Compagnie française du textile). Le discours de Bono est volontairement interprété, hors de son contexte, comme une offense au chef de l’état. Cela lui vaut un retour en prison.  Libéré, Bono se remet encore au service des malades. Là, le médecin Bono fait preuve de ses compétences et de son efficacité. Il multiplie les dispensaires à travers le pays et parvient à enrayer plusieurs épidémies parmi lesquelles celle du cholera.


Forcé à l’exil


Bono est  forcé à l’exil en raison de ses succès auprès des malades
. De son exil, Bono s’attelle à la rédaction du manifeste qui doit donner naissance au Mouvement Démocratique de Rénovation Tchadienne, le MDRT. A ce moment là, un officier français des services secrets, Henri Bayonne, franc-maçon de la Grande Loge Nationale Française (GNLF) feigne de s’intéresser au parti MDRT. Innocemment, Bono l’accueille, ne sentant pas l’odeur du souffre  venant de M. Henri Bayonne.

Assassinat ou Crime passionnel?


Peu de temps après ce rapprochement avec M » Bayonne, Outel Bono est tué de deux balles de revolver un mois d’août. Il n’est pas le dernier sur la liste. Il ya un témoin gênant : Jérôme Djimadoum, un tchadien ayant suivi le lien « d’amitié » entre Bono et l’officier français, veut parler de ce qu’il sait au sujet de la mort du médecin Tchadien. Jérôme Djimadoum meurt d’une « diarrhée » subite. L’assassinat de Bono par les services secrets français est considéré par le juge Alain Bernard comme un acte de crime passionnel. Le juge est récompensé par une promotion à la fonction de procureur général à Bastia. Le jugement du meurtre de Bono finira par un non-lieu le 20 avril 1982. Le gourou de la Françafrique Jacques Foccart lui-même dira que « ce meurtre ne sera jamais élucidé ». Ainsi, le médecin Tchadien Outel Bono est assassiné en raison de son dénonciation d’une indépendance aliénante léguée aux Tchadiens. Tous les africains qui ont voulu initier un mouvement libérateur ont été neutralisés ou assassinés mais ils ont déjà placé, en dedans de chaque jeune africain, la semence de la liberté. L’esprit de ces fiers fils d’Afrique meut aujourd’hui sur la jeunesse africaine qui continue à réclamer la liberté et le respect qui lui est dû. 


SOURCES:

- Les Témoignages
de ceux qui ont connu Outel Bono et Jérôme Djimadoum.
- La Françafrique, le plus long scandale de la République, de François-Xavier Verschave. Éditions Stock

 

 

 

 

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 15:15

5 octobre 2009
APIC
  

Une intervention de l’Eglise sur la question de l’exploitation des ressources naturelles de l’Afrique, dont les recettes reviennent aux gouvernants et aux multinationales sans nullement profiter au développement des régions et des populations riveraines, sera sollicitée par les évêques du Tchad pendant l’Assemblée synodale sur l’Afrique.

Dans un mémorandum signé par Mgr Michele Russo, évêque de Doba, et Mgr Edmond Djitangar, évêque de Sarh, cité par Misna, les évêques mettent l’accent sur "la situation de paradoxe où les ressources naturelles sont immenses et les conditions de vie des populations sont déplorables", commune à de nombreux pays du continent. 

"Peut-être est arrivé le moment d’une intervention de l’Église Catholique en faveur de l’Afrique. Nous assistons encore à la difficulté de l’Afrique  …

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 23:07

23 septembre 2009
Edouard Takadji
Tchadforum

Au Tchad se tient actuellement dans la capitale N’djaména un atelier international de réflexion et de formation sur l’exploitation de l’uranium.

Plusieurs responsables des organisations de la société civile du Tchad, du Cameroun, du Niger, de la Centrafrique, d’Europe et d’Amérique participent à cet atelier organisé par la Ligue Tchadienne des Droits de l’homme. Les inquiétudes que suscitent l’exploitation, le traitement et le transport de l’uranium, considérés comme porteurs de risques majeurs au plan social, économique, sanitaire et environnemental sont au centre de cet atelier international. Parmi les problèmes évoqués : les conflits armés, la destruction de la flore et de la végétation, l’exode massif des animaux. Au lieu de profiter aux populations et au développement, l’exploitation des ressources naturelles, telle qu'elle est pratiquée, leur est au contraire nuisible.

 

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 23:02

24 septembre 2009
Tchadactuel


Inusable Habré! L’ancien président du Tchad, chassé du pouvoir le 1er décembre 1990,à la suite d’un coup d’Etat organisé par Idriss Deby , tente une bravade en estant en justice son pays d’accueil, le Sénégal pour, tenez vous bien, «violation de droits de l’Homme».

Sans risque de se tromper, on pourrait dire que c’est l’histoire de «l’arroseur arrosé». Accusé de crimes contre l’humanité devant la justice sénégalaise pour "assassinats politiques et torture" alors qu'il était au pouvoir de 1982 à 1990, Hissène Habré a saisi la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l'ouest (Cedeao) d’une plainte contre…le Sénégal pour… «violations de droits de l’homme».

L’information relayée par le site de l’hebdomadaire Jeune Afrique souligne que la plainte de l’ex président du Tchad porte sur des violations présumées par le Sénégal, «de l'autorité de la chose jugée" ainsi que "d'autres articles tenant à la violation de la non-rétroactivité de la loi pénale». En langage plus courant, le président déchu se plaint d'être «torturé» par son principal soutien, le Sénégal.

Conformément à une décision du Comité des Nations unies contre la torture (CAT) condamnant le pays d’Abdoulaye Wade pour violation de la Convention contre la torture, Hissein Habré devait être jugé où extradé depuis 2006.

Seulement le gouvernement sénégalais traine les pieds arguant qu’il cherche les fonds. C’est alors que Hissein Habré décide de secouer le cocotier, en phase avec l’adage selon lequel, la meilleure défense, c’est l’attaque. Pour l’instant, il est difficile de prédire de l’avenir de ce procès pour le moins curieux. Cependant tout laisse à penser que l'ex-dirigeant tchadien entend par là échapper au jugement auquel tiennent les proches et parents des victimes, tout comme les défenseurs acharnés des droits de l’homme.

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 22:48

26 septembre 2009
L'Express



Le coordinateur de la "Commission permanente pétrole" du Tchad, Nasingar Rimtébaye, a invité, vendredi à N'Djaména, les parties impliquées dans les activités d'exploitation du pétrole de Koudaloua à travailler de concert pour en garantir une gestion "juste, équitable et saine".

Au cours d'un point de presse, M. Rimtébaye a expliqué que l'intervention de la Société civile dans les industries extractives de l'or noir vise à ?uvrer pour une exploitation saine et rationnelle des ressources pétrolières et minières dans le respect des droits humains et de l'écologie.

Il a indiqué que les résultats d'une étude d'impact environnemental réalisée dans la zone du bassin pétrolier de Bongor (ville à 150 km au sud du pays), notamment à Koudaloua, à 30 km de Bongor (dans le département de Lough Chari), montrent que les travaux d'exploitation du pétrole contribuent à détruire la nature et les emplois générés par ces travaux aux populations locales sont précaires.

Il a suggéré de doter le long du pipeline d'un couvert végétal, de reloger les villageois déguerpis dans les milieux appropriés convenus de manière consensuelle.

Le lancement officiel des travaux de construction du pipeline long de 311 km devant conduire le pétrole de Koudaloua à la raffinerie de Djermaya confiés à la Compagnie nationale pétrolière chinoise (CNPC), avait été effectué par le président Idriss Deby Itno le 1er juillet dernier.

La fin des travaux est prévue pour 2011.

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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 14:00

22 septembre 2009
Makaila Nguebla

Selon nos sources, en perspectives à l'élection présidentielle de 2011, Idriss Deby, Gilles Desequelles de la Commission de l'Union européenne et Bruno Foucher, ambassadeur de France au Tchad, ménent le même combat pour un plébiscite populaire en faveur du pouvoir en place.

  

Ils se livrent à une guerre sans merci aux Nations Unies, à la Francophonie et à l'opposition tchadienne afin d'en empêcher le récensement  biométrique qui figure  dans l'accord du 13 aôût 2007; ils préferent faire adopter une loi qui privilégie le recensement simple.

Ainsi, ils gagneront en temps, pour invoquer un vide juridique en faveur d'un recensement simple torché.

Ce qui explique le déplacement  illico presto à New York d'Idriss Deby à l'Assemblée générale de l'ONU où il est chargé de convaincre le Secrétaire général Ban Ki Moon au cours de son séjours.

Et,   ainsi, le tour est  joué pour qu'Idriss Deby remporte l'élection présidentielle avec de scores fleuves et plébiscitaires dignes  des régimes staniliens.

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 23:03

13 septembre 2009
Philippe Tixier

Il faudra bien parler un jour du Tchad !

La voix d'un représentant de la communauté Tchadienne en France est parfois captée par les ondes ! Elles nous explique toujours avec force et paix les faits qui nous font dresser les cheveux sur la tête.

Cet personne, appelons la DJYM explique à Bruno (un français parmi d'autre, ce qui se passe au Tchad :

"Les multiples interventions de l’Armée française stationnée au Tchad ont toujours sauvé in-extremis le dictateur Idriss Déby contre les offensives militaires victorieuses des Forces de résistance nationale, l’opposition armée à l’Est du pays. Dr Ibni, un Leader de l’opposition démocratique (non violente) et qui vivait paisiblement au Tchad, a été froidement assassiné en février 2008 par ce monstre de Président.

Nous avons manifesté plusieurs fois au Trocadéro, aux Invalides, devant le Ministère des Affaires Etrangères, certains parlementaires français et la Communauté tchadienne de l’Hexagone avaient interpellé le Président Sarkozy…, mais hélas malgré les promesses faites par ce dernier, aucune lumière n’a été faite à ce jour sur cette tragédie contraire à la démocratie. Un démocrate pacifiste assassiné sous le parapluie militaire français au Tchad cela jette de l’opprobre sur un pays qui est à l’origine de la déclaration universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen.

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 22:35
13 septembre 2009
Ian Hamel
Le Matin Dimanche

La Suisse tente depuis plusieurs mois de rétablir la paix au Tchad. Une initiative qui ne plaît guère au colonel Kadhafi, qui considère ce pays comme sa chasse gardée.

Depuis le début de l'année, le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) cherche à pacifier la situation dans quatre pays africains, le Tchad, le Soudan, la République centrafricaine et le Cameroun. Cet «engagement de politique de paix» s'étend sur trois ans, de 2009 à 2011. Deux pays en particulier n'ont guère connu la tranquillité depuis leurs indépendances, le Soudan et le Tchad. Deux grands voisins de la Libye.

L'homme qui accepte de nous parler est un opposant d'Idriss Deby, le président du Tchad, arrivé par la force au pouvoir en 1990. Il était la semaine dernière à Genève, invité par le DFAE. «La Suisse aimerait que les armes se taisent avant les élections législatives de 2010 et les élections présidentielles de 2011. Elle nous a demandé si nous étions prêts à discuter avec le régime de N'Djamena», nous explique notre interlocuteur, qui séjourne actuellement en Europe.
 

Sa prudence tient au fait que son organisation n'a pas encore décidé de s'asseoir à la table des négociations, et qu'il est parti en poisson pilote. «Nous devons aussi tenir compte de la réaction du colonel Kadhafi, qui n'a jamais cessé de s'impliquer dans les affaires tchadiennes», ajoute le rebelle. Fin juin, il s'est déroulé à N'Djamena et à Tripoli un curieux chassé-croisé. Pendant qu'Idriss Deby recevait des opposants au régime de Tripoli, le «Guide» de la révolution libyenne accueillait chez lui des adversaires du maître de N'Djamena.

Fin juillet, tout rentre brusquement dans l'ordre: pendant que l'opposition libyenne renonce au terrorisme, une partie de l'opposition tchadienne rejoint Idriss Deby! C'est l'équilibre de la terreur. Mais combien de temps vont durer ces réconciliations tchado-libyennes? Et voilà que la Suisse, avec sa bonne volonté et sa candeur, arrive comme un chien dans un jeu de quilles. «Kadhafi ne supporte pas que les Occidentaux interviennent dans cette région d'Afrique. Pour aggraver son cas, Berne tente aussi au Darfour de réconcilier la guérilla avec le régime de Khartoum!» constate un homme d'affaires français, qui connaît bien la Libye.


Le DFAE ne s'exprime pas


Ces épines tchadienne et soudanaise enveniment-elles encore davantage les relations difficiles entre Berne et Tripoli? Le DFAE reconnaît qu'il contribue «au renforcement des capacités des acteurs clés des processus de paix au Tchad». En revanche, à toutes les autres questions posées par «Le Matin Dimanche», notamment sur la question de savoir si l'engagement de la Suisse contrariait la Libye, il nous a été systématiquement répondu: «Le DFAE ne s'exprime pas sur ce sujet».


On peut toutefois imaginer que Tripoli n'a apprécié qu'avec modération la venue en Suisse, aux frais de la Confédération, de dirigeants politiques tchadiens, encore plus hostiles à Muammar Kadhafi qu'à Idriss Deby.
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Textes De Juliette