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10 septembre 2009 4 10 /09 /septembre /2009 16:06

10 septembre 2009
Terre Noire de Diangala 



Sinon l'après Sassou Nguesso sera catastrophique !


Ce message s'adresse au peuple meurtri du Congo Brazzaville qui a le droit de savoir les intrigues du coup d’Etat qui se trament en coulisses pour les assujettir davantage après le décès du Président Sassou Nguesso !


De quoi s'agit-il ?


Il y a quelques jours (le 14 août 2009), le Président Sassou Nguesso, se portait encore bien, il était en vie. Aujourd’hui, les rumeurs de son décès ne cessent de déferler la chronique sur la toile et sur les téléphones. Il est encore en vie nous dit-on ! Nous nous préparons à recevoir le chef de l'État, même si nous ne sommes pas encore fixés sur la date de son retour disent les membres du gouvernement congolais.


Adada est rentré précipitamment de sa mission semble t-il arrivée à son terme, Denguet s’est mis à expulser les frères congolais d’en face : (les zaïrois) qu’elle honte ! But apparent de toutes ces manœuvres, donner l’impression que tout fonctionne à merveille au Congo.


En réalité, c'est pour s'entendre sous une organisation militaire qui va diriger le pays à l’annonce du décès du Président Sassou Nguesso, question de piétiner par un coup d’Etat militaire, l’article 70 de la constitution congolaise: (En cas de vacances de la présidence de la République par décès, démission ou toute autre cause d’empêchement définitif, les fonctions de Président de la République,(…) sont provisoirement exercées par le Président du Sénat(…) que, les «mêmes» qui, avaient tués Marien Ngouabi le 18 Mars 1977 pour la conservation du pouvoir  « Mais n’empêche que pour moi, mieux vaut perdre un Kouyou que de perdre le pouvoir. Et, c’est clair … » avait précisé un certain (…) et, avaient mis en place le CMP (Comité Militaire du Parti) pour masquer leur forfait.


Pour le même mobile : la conservation du pouvoir pour le pouvoir, entre les mains d’un Mbochi ou d’un Kouyou etc… les «mêmes», qui ont peur de la démocratie (respect de l’article 70),  ne veulent pas dire la vérité sur l’état de santé aggravant du Président Sassou Nguesso. Aucun d’entre eux, n’ose révéler au peuple congolais le fait qu’il se trouverait que le Président Sassou Nguesso soit mort. Ils gardent jalousement le secret de sa souffrance ou de son décès. L'aveu risque d'ouvrir les plaies des dissensions entre prétendants au trône au sein de la famille Sassou Nguesso et, entraîner la mobilisation de certains charismatiques opposants congolais qui auraient la chance de l’emporter haut la main s’il nous faut  repartir aux urnes. C’est pourquoi les «mêmes», ont décidé de pratiquer l’omerta sur la maladie ou le décès du Président Sassou, le temps d'aiguiser les velléités putschistes de l’armée, ( tout planifier) afin d’organiser le passage en force par un coup d’Etat militaire pour la confiscation du pouvoir par les armes et pourtant, acquis « hier » par les urnes par le Président Sassou Nguesso.


Pour cela, ils ont commencé à mettre graduellement leur plan en pratique : Ils ont commencé par interdire à tous les opposants congolais de sortir du territoire dans le but de les faire arrêter ou les zigouiller comme dans leur habitude en 1977, à l’annonce du décès du Président Sassou. Sous prétexte, qu’ils auraient tenté de fait un coup d’Etat comme le dit déjà Akouala. Ensuite, Ils empêcheront au Président Lissouba et autres congolais en exil de rentrer au pays toujours, sous le fallacieux prétexte qu’ils pourraient éventuellement menacer la paix au Congo foulant ainsi aux pieds l’article 9 de la constitution : La liberté de la personne humaine est inviolable. Nul ne peut être arbitrairement accusé, arrêté ou détenu (…) Tout, cela, leur permettrait de mettre en place un CMP bis 32 ans après pour s’assurer de garder pouvoir.


La maladie du chef de l’Etat, prévue dans la constitution congolaise, doit être respectée et révélée au peuple congolais. Dans cette espèce de vacances de pouvoir qui ne dit pas son nom mais heureusement, constatée par l’opinion internationale, et tout le peuple congolais. Ne pourrait-on pas alors se demander, à juste titre, qui sont les décideurs et les véritables détenteurs du pouvoir au Congo à ce jour, pendant l’agonie du président Sassou Nguesso ?


C’est pourquoi, pour une vigilance républicaine et démocratique, les Congolais qui se réclament  de sensibilités très diverses et qui, ont sur un certain nombre de sujets importants des positions très différentes mais, sur la maladie ou le décès de notre Président de la République, ils ont malgré tout en commun un certain nombre de convictions et de valeurs qu'ils entendent réaffirmer avec force à la communauté internationale et à tous ceux «les mêmes» qui entourent le Président Sassou Nguesso.


Leur attachement au principe républicain édicté par la constitution congolaise adoptée par le Peuple Congolais par référendum le 20 janvier 2002, promulguée par le Président de la République Denis Sassou Nguesso en personne et, en conséquence, leur refus de toute dérive monarchique et de toutes velléités putschistes de la part des éternels assoiffés du pouvoir et de l’hémoglobine du sang du peuple congolais.


Leur attachement à la ferme volonté de bâtir un Etat de droit et une Nation fraternelle et solidaire. 


Nous, Peuple Congolais, Condamnons le coup d’Etat, l’exercice tyrannique du pouvoir et l’usage de la violence politique sous toutes ses formes, comme moyens d’accession au pouvoir ou de sa conservation ; Adhérons aux valeurs universelles de paix, de liberté, d’égalité, de justice, de tolérance, de probité et aux vertus de dialogue, comme références cardinales de la nouvelle culture politique sur le « chemin d’avenir»  qui est appelé à faire passer le Congo de l’espérance retrouvée à la prospérité soutenue. C’était la vision d’un candidat nommé Denis Sassou Nguesso. C’est désormais le projet de tout le pays. C’est notre projet pour lequel Denis Sassou Nguesso a été élu le 12 juillet 2009.

Au lendemain de la célébration le 14 août 2009 du 49ème anniversaire de l’accession du Congo à la dignité d’Etat souverain et indépendant, Nous, Peuple Congolais, rappelons  qu’un tournant décisif vers le « chemin d’avenir » venait d’être pris par le Président Sassou Nguesso lui même, notamment par la cristallisation de l’espérance collective dans le devenir de la Nation.  Les expériences vécues à travers les différents régimes politiques qui se sont succédés au Congo depuis l’indépendance, ainsi que celles des autres peuples, ont conduit le peuple congolais à faire le choix de la démocratie pluraliste comme socle des valeurs devant orienter le développement du pays, stimuler son épanouissement moral, culturel et matériel et répondre à la demande collective d’un mieux-être social.

Nous, Peuple Congolais, Réaffirmons notre attachement indéfectible à la culture démocratique au Congo : au respect et l’application stricte de l’article 7O de la constitution de janvier 2002 en cas de vacances de pouvoir s’il advenait que le Président Sassou Nguesso venait à en mourir. 

Nous, Peuple Congolais, Proclamons haut et fort la MORT DU COUP D’ETAT dans notre pays le Congo. Nous disons NON A LA MORT DES INSTITUTIONS après Denis Sassou Nguesso et mettons en garde les «mêmes» qui sont habitués à enjamber les cadavres des congolais pour accéder au pouvoir par les armes, du risque qu’ils encourent eux-mêmes devant l’opinion internationale, devant l’histoire et, du risque qu’ils font encourir au Congo tout en entier qui n’est pas leur propriété, s’ils venaient à mettre à exécution, leur plan machiavélique : le coup d’état militaire contre les institutions de la République pour la conservation du pouvoir pour le pouvoir.

Nous ne sommes ni le Gabon, ni le Togo, ni le Congo d’en face. Nous sommes le Congo, le vrai Congo et nous avons cessé d’avoir peur et disons aux «mêmes» : «On ne marche pas deux fois sur les testicules d'un aveugle ».


Sur le « chemin d’avenir » pour lequel nous avons élu le Président Denis Sassou Nguesso, nous ne voulons que d’une seule chose : rien que d’une chose : marcher vers un «chemin d’avenir démocratique» en toutes circonstances. (Décès ou survie) du Président Sassou. Peut-être certains «mêmes» de bonne foi l'ignoraient !


C’est pour cela que, nous appelons le peuple Congolais à la vigilance tout azimut pour barrer la route à ces «mêmes» sinistres personnages qui pensent que le pouvoir au Congo leur appartient et veulent le conserver à tout prix.


Si le Président Denis Sassou Nguesso meurt, rendez à nous le peuple, notre pouvoir. Le pouvoir au Congo n’appartient pas aux mbochis, kouyous, laris, Bembés, tékés, Nzabis etc… le pouvoir appartient au peuple Congolais. RENDEZ NOUS LE POUVOIR. Nous le confierons à qui méritera notre confiance comme le Président Denis Sassou Nguesso car le pouvoir est la propriété du peuple Congolais et non d’un clan fut-il celui des Mbochis. CONGOLAISES CONGOLAIS, SOYEZ VIGILANTS.


L’histoire jugera.

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